Le cas Pascal, re suite, et la maire de Tanerre tiens ça rime

 Je vais afficher (en succinct) pas trop compliqué? Dites moi svp. 

Le cas Pascal, analyse

Un ''phalanstère d''exclus''', volontaires ou non, souvent les deux, solidaires et LUCIDES, est un risque pour les politiques* : une poignée de brindilles au soleil avec une allumette, un peloux au fond d'un slip. Il faut anéantir la flamme naissante. C'est simple: indifférence, mépris, suscitation ou aggravation à l'extrême** d'un stress déjà là (onpepafaireautrement***) d'où désespoir, agressivité mal ciblée, et ensuite actionner les gens d'armes puis la justice : le tour est joué.

* vivant souvent de discordes, leur blé, sous couvert de concorde tentée, leur vitrine, (l'ambulance qui écrase et se félicite de vous conduire à l'hôpital.) 

** Jusqu'à la mort : expulser des SDF sans préparation par un froid épouvantable c'est risquer leur mort.

*** On peut saluer ici la remarquable prestation de Mme la Maire de Tonnerre contre les gilets qui, au cours d'une réunion immédiate où nous cherchions - en fait nous avions déjà trouvé plusieurs endroits possibles- un lieu idoine pour nos cabanes (qui venaient par deux fois d'être démolies sur son ordre.. et il pleuvait!) s'est livrée avec une constance qui n'a pas faibli durant les deux heures concédées au jeu de trouver a cathedra tous les arguments imaginables et inimaginables pour les récuser un à un, le clou étant ''une voiture lancée à fond d'Auxerre qui raterait le virage vers l'entrée de la ville - avec ralentisseurs en amont- sauterait élégamment par dessus les blocs de rochers de protection, pour finir sa course, dédaignant les arbres centenaires le long du canal, droit, pardon, de travers sur notre refuge''...  Il faut penser à tout.