En vrac, montagne, animaux, vel d'hiv ...



Avez vous éprouvé ça ??


Passé Saint Jean du Gard, un sentiment ineffable de bonheur, de plénitude, m'envahit jusqu'à être moi, comme si enfin j'étais arrivée. Arrivée ! et devais rester définitivement dans ses montagnes qui sont moi et que je suis, une sorte de coup de foudre réitéré pour cette splendeur, ces rochers de cathédrale qui enferment au loin la vallée.. et soudain au détour d'un virage l'ouvrent à l'horizon infini ou le bleu du ciel se confond avec le bleu des crêtes, sublime mirage .. Chaque instant passé ailleurs me semble mesquin, sordide, une dévastatrice trahison. Un bouleversement de tout mon être, cœur et ventre, juste envie de pleurer d'un intense bonheur retrouvé. Je me demande comment j'ai pu si longtemps vivre si loin de ces falaises abruptes, comme sciées, orange rutilantes d'où sort parfois un filet d'eau brillant émergeant d'une source enfouie en haut des cimes, ces infinies bleutées hiératiques et sauvages qui me portent vers elles et sont en moi enfermées, sont MOI. Je peux mourir.
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Ndlr : il y a 69 ans c'est sans doute là que j'ai rencontré ma mère (guérie) pour la 1ère fois (?)

● Quand j'ouis "les chiens sont interdits (ndlr, dans un vaste parc où habituellement on peut les balader ) parce qu'il y a des gens qui boivent" (c'est une fête) moi, j'entends "les juifs ne peuvent entrer parce qu'il y a des nazis". Pas vous ?

● Les Japonais produisent du bois depuis 700 ans sans abattre les arbres.
Au XIVe siècle, l'extraordinaire technique de Daisugi est née au Japon. En effet, les « Daisugi » prévoient que ces arbres soient plantés pour les générations futures et ne soient pas abattus mais taillés comme s'ils étaient des bonsaïs géants ; en appliquant aux cèdres cette technique le bois qu'on peut en obtenir est uniforme, droit et sans nœuds, pratiquement parfait pour la construction.
Un élagage en règle d'art qui permet de faire pousser et germer l'arbre tout en utilisant son bois, sans jamais l'abattre. Technique extraordinaire .....
Quand je vous dis qu'on est à la traîne dans ce pays !!!
● Réponse à Jeanine
---- "Il m' aura fallu 87 ans avant d ' accepter l ' idée que l ' homme naît mauvais et... qu ' il le reste . Désespérant !
Corinne ---- Pas tous , mais 85 pour-cent a vue de nez , normal on dégénère.
C ---- en ce cas j'ai eu de la chance d'avoir rencontré des gens exceptionnels

H ---- Pas forcément, pas en si grand nombre : mais les abrutis st les plus "voyants", les plus "marquants" ce qui fausse le jugement : on les croit les plus nombreux, les plus incontestables ... c'est d'ailleurs le but. Du coup bcp n'osent rien dire ni faire, épuisés d'avance par leur inébranlable pugnacité ! Et c'est logique : les abrutis (je simplifie) n'ont par définition pas le sentiment de l'être et se montrent démesurément fiers de leurs assertions et d'eux mêmes (ou font semblant mais à force cela devient non pas vérité mais au moins un réel pouvoir sur les autres, Hitler n'a rienfaitde mieux) : de fait ON NE VOIT PLUS QU'EUX. Tous (et toutes) les nuancés, les douteurs, les réfléchisseurs sont écrasés par eux, rendus invisibles. Car l'abruti est simple, facile. Il a une explication toute prête. EXEMPLE : PRENEZ UNE classe de 25 élèves, mettons de terminale : il suffit parfois (et svt) d'UN SEUL ABRUTI/ EMMERDEUR/ VOIRE PERVERS (les trois ne sont pas équivalents) pour tout fausser, tout bousiller ... et conduire les profs à déplorer "une classe épouvantable". Car svt l'abruti (je simplifie) est violent, dominateur, sûr de lui, on ne voit que lui, il s'y emploie (parfois cela participe d'une sorte de "névrose", formatage déficient* ou haine et mépris, ce n'est pas équivalent, des profs qui lui ont été inculqués.)
* certains médias, (des médias "cheap" comme par hasard) s'y emploient vigoureusement : un peuple ignorant est plus facile à écorcher qu'un qui pense par lui-même. "Pane et circumses" (du pain et des jeux -du cirque, cruels-). A ce sujet j'aimerais interviewer la masse de rase-mottes écarlates sous le soleil de Satan qui font la queue devant les arènes afin de payer parfois des fortunes selon la place pour se réjouir d'un spectacle sanglant atroce (corridas en le cas)


Réponse à Corinne qui s'interroge sur les gens qui abandonnent leur chien aux vacances, QUI SONT ILS ?.
--- J'en ai connu un couple, de ces "abandonneurs" : des gens NORMAUX, INSOUPCONNABLES, SERVIABLES PAYANT LEUR LOYER EN TEMPS ET HEURE, AIMABLES EN SOMMEJUSTE UN PEU CONS.
---- " Ben on allait chémonbeaufrere comprenez ! Zon refait leur maison à neuf impec on mangerait par terre. Nous zon invités et avec 4 gosses c'était sympa on n'allait quand même pas leur imposer Princesse ! Quelle pue maintenant. Et avec le trajet et la chaleur jevoudispas. Voyons !"
--- mais en l'attachant là vous saviez bien qu'elle allait mourir!*
--- mais Madame ! Jyavé laissé un seau de croquettes et un d'eau !
---- pour un mois !
---- bé elle mange peu maintenant.. elle est vieille maintenant !
Etc etc.
* je suis venue par hasard et l'ai entendu gémir. Je l'ai aussitôt nourrie puis, constatant qu'ils ne revenaient pas, pour éviter les trajets (33km donc 66 aller retour) je l'ai embarquée, soignée. Rebaptisée Tess. Refusé de la leur rendre et du reste ils ont fini par trouver ça bien car elle les détestait clairement. Et guérie, c'était un gros chien puissant. Elle n'a eu que quelques années de bonheur puis est morte de ses blessures soignées ms trop tard. Infection généralisée odeur pénible irréfragable que je devais avoir car je dormais à ses cotés. Un calvaire
Là, cerise sur le gâteau, elle était gravide de 5 chiots, miracle ! nés en bonne santé, si bien que nous avions "nos" 3 chiens (dont un caniche très âgé -il est mort à 20 ans peu après-) si bien que pdt ce temps on s'est retrouvés avec 9 chiens. Pas grave on a du terrain là bas.

● la souffrance inouïe des mouches
Bizarre le chapeau du texte semble dire le contraire ! Perso je suis sensible (ms cmt ne pas l'être ?) à l'inouïe souffrage infligée par ex aux mouches collées sur cet affreux ruban où d'autres agonisent des HEURES telles des crucifiées chez les romains (la mort la plus atroce disait-on* en un lent et inexorable étouffement) pdt que la petite famille Cucul mange tranquillou le gâteau d'anniversaire du Mimille réjoui!
* Je mettrais un point d'orgue : cela me semble plutôt la mort par infection puerpérale cad suite à un accouchement ou juste de l'accouchement lui-même reliée alors à l'extrême de la souffrance (le coeur lâche comme en un système de 'sécurité'.) Yourcenar en parle sans détours : très fréquente ds son milieu pourtant grand bourgeois : corps enflé verdâtre déjà quasi en état de décomposition (qui parfois éclate littéralement ensuite) odeur infecte etc... au point que les accouchées étaient enterrées à part. On craignait la contagion par rapide et extrême putréfaction. Maudites en qque sorte.


Lorsque les pompiers de Paris entrent dans le Vélodrome d’Hiver le 16 juillet 1942, c’est le choc.
Hommes, femmes et enfants, sont parqués et entassés dans des conditions inhumaines totalement inimaginables. Ils sont 13 000 juifs, dont 4 051 enfants. 25, seulement, reviendront.
Ce sinistre jour d’été 1942, réquisitionnés, sans en connaître le motif, le capitaine PIERRET (voir photo) accompagné de cinq sapeurs-pompiers de la caserne de Grenelle, dans le XVe arrondissement, arrivent au Vel d’Hiv. La vision insoutenable des victimes assoiffées et suppliantes lui fait prendre immédiatement une décision majeure, honorant ainsi la devise des pompiers de Paris : Sauver ou Périr.
"Les petits tuyaux avec lances à incendie", commande t-il. Un jeune officier de la garde mobile lui ordonne d’arrêter la distribution de l’eau, ce à quoi le capitaine PIERRET répond qu’il n’a d’ordre à ne recevoir que de sa hiérarchie ajoutant, "Reculez de six pas et rompez". Contre toute attente, l’officier obtempère et s’efface.
Ce jour-là, les pompiers de Paris ont recueilli tous les petits mots remis par ces personnes parquées. Le capitaine PIERRET leur donne une journée de permission le lendemain pour tenir l’engagement pris spontanément et délivrer ainsi tous les messages confiés à leurs destinataires. Le sapeur Fernand BAUDVIN, qui avait dissimulé sur lui 146 petits mots, fut envoyé chez Ruben, un sapeur juif en permission, pour lui dire de ne pas retourner à la caserne. Une mesure qui lui sauva la vie ainsi que celle de sa mère. Le capitaine PIERRET ne parlera jamais à sa famille de ce qui s’était passé au Vel d’Hiv.
Ce jour-là et malgré le contexte particulièrement difficile, ces sapeurs-pompiers de Paris ont su faire preuve d’un engagement et d’un dévouement sans faille auprès de la population.
C’est grâce au sapeur Fernand BAUDVIN, et à son témoignage précis qu’il avait adressé à Simone VEIL le 15 mai 2007 que l’on a pu connaître l’action que ces militaires ont accomplie en ce jour.
Cet événement fut repris par Roselyne BOSCH dans son film "La Rafle".
Depuis 2014, l’esplanade se trouvant devant la caserne de Grenelle porte le nom du valeureux capitaine Henri PIERRET.


Merveilleux avions, merveilleu.ses pilotes d'un courage inouï (des femmes de plus en plus - car contrairement au cliché on a les nerfs plus solides*-) je le tiens d'un pote militaire gradé pourtant plutôt de droite.
* raison probable de notre plus grande résistance cardio-vasculaire.

● avoir un chien les responsabilités (soins bouffe véto etc)
Oubli majeur : vous devrez surtout vous bagarrer avec tous les connards malveillants qui vont vous sauter sur le rable (avec l'impératif catégorique qui leur gratte le cul comme des oxyures en folie*) cf notre mésaventure hier soir avec Sheba voir mon mur. Être fort.e ! Hard ! Ne pas céder. Mais aimable à l'hypocrite** enfin toutes qualités qu'on ne possède pas forcément !
* "Agis de telle sorte que la maxime de ton action puisse être érigée en règle universelle." (Kant, ce qui n'est pas le meilleur de ce qu'il ait dit car c'est contradictoire donc inapplicable.)
** Éviter de dire carrément à un connard investi de sa virilité avec un T shirt marqué sécurité... qu'il est un connard qui transfère sa médiocrité de lâche n'osant s'attaquer à des gros méchants sur un pauvre chien d'évidence gentil au bout de la laisse d'une nana canute qui ne semble pas difficile à impressionner (erreur d'appréciation) ! Du grand art méonpeut


La nouvelle, Sheba ! C'est la chienne d'un sdf (picole et shoot) parfois violent depuis incarcéré ; habituée à la rue et à la dure. Adorable obéissante me suit gentiment partout (je crois revivre "La strada'' ! ) hésite à manger comme si elle n'en avait pas le droit.. puis toujours avec quelques coups d'oeil vers les deux "gros", se décide enfin mais ne parvient pas à finir, mon erreur a été de lui donner comme à Olav (Youyou a un tiers de plus car il a ses 10 kg de plus de muscles à entretenir : 35 kg) je dois pour elle diminuer les doses. Elle ne savait presque pas manger ds une gamelle et a dû vérifier plusieurs fois en regardant vers les deux autres pour s'y mettre ! Son maître, qui l'aimait pourtant, lui donnait juste des morceaux qd il mangeait et y pensait hélas pas svt. Cependant il ne la frappait pas même si parfois il lui hurlait dessus. Mais il la laissait divaguer ds le village où elle est connue au risque qu'elle se fasse écraser donc elle est maigre... ms ça ne va pas durer. Déprimée (incendies, chaleur, rupture) ça va mieux... grâce à elle (en plus tout le monde me trouve admirable ! ça paie bien) une pote m'a même donné plein de boites et bio en plus !
● La psychiatrie rend fou ? ou la folie et l'appât du gain rendent psy ? That is the question !
Reprise du commentaire de la vidéo (voir mon mur) où une femme parle de la perte (mort) de ses 3 enfants suite à des erreurs médicales ("dans les yeux d'Olivier ") dont une en psychiatrie.
Trop long, passez directement au deux tiers de la bande, sur la PSYCHIATRIE et sa dernière fille. Une certaine incompréhension de ma part qd même [ comment a t elle pu se laisser convaincre de laisser ainsi maltraiter ses enfants, par son mari dit-elle (favorable à l'hospitalisation malgré les supplications de la petite) puis par les psy* ?] J'ai même pensé à un syndrome de Münchhausen par procuration, ayant connu un cas familial.
*Car personnellement, dans des circonstances assez proches j'ai REFUSÉ l'hospitalisation D'INSTINCT (j'ai signé décharges sur décharges* et subi pressions sur pressions) sachant, devinant, qu'elle ne s'en sortirait pas si je la laissais embarquer ET ÇA A MARCHÉ. C'est moi qui, de ma propre volonté ai été hospitalisée (mais moi je pouvais me défendre) 4 ou 5 jours, une semaine peut-être? une expérience INTÉRESSANTE à St Anne, ET SURTOUT NON MÉDICAMENTÉE. Effectivement tous l'étaient et lourdement : DES LÉGUMES, DE SURCROÎT ADDICTS DONC AGRESSIFS SI EN MANQUE ! dont après coup on ne pouvait SAVOIR SI CETTE HYPER MÉDICAMENTATION DRAMATIQUE ÉTAIT (OU AVAIT ÉTÉ) AU DÉPART NÉCESSAIRE (CE QUE LES PSY DISAIENT) (VOIRE SALVATRICE!**) OU AU CONTRAIRE INUTILE ET DESTRUCTRICE, VOLONTAIREMENT (LÉSSOUS-LÉSSOUS) OU NON. MÉDICAMENTATION À VIE SOUVENT : UNE MANNE, une aubaine puisqu'après coup on ne s'y retrouve plus : où est la cause où est la conséquence? Je crois l'avoir sauvée AINSI. Terrible à dire mais cette vidéo m'a presque rassurée. CAR J'AI BIEN SÛR AUSSI ÉTÉ CRITIQUÉE, voire menacée, notamment par un généraliste mécontent de perdre sa MANNE, (3 consultations/semaine pour elle et autant pour moi juste pour me donner ses conclusions ! sur l'état de ma petite) des paquets de bouse dont je ne suis pas encore remise 30 ans après (d'où depuis une méfiance ( déjà là mais encore accrue) vis à vis de la médecine. Même avec un résultat visible à peu près OK. A peu près.
* Risque vital (exact)
** peur être exact dans certains cas je ne le nie pas, je n'en sais rien


Rajout d'importance à mon précédent (enfin suivant) article ! ''La psychiatrie rend fou ou est-ce l'inverse associée à la rapacité ? '' Le chantage aux médocs.

Anecdote.
Ma grand-tante, Josée fut déclarée folle (psychotique) vers 50 ans,* il est vrai qu'elle était hallucinée et dite dangereuse (surtout par ceux de la famille qui, de bonne ou de mauvaise foi, entre les deux peut être ? voulaient s'éliminer un souci prégnant, souci pas immense pourtant, encouragés par des médecins indifférents et des psychiatres qui y avaient intérêt) .. Josée donc passa un an ou plus à Nîmes en hôpital psychiatrique voire hospice, un lieu terrible, je n'ai jamais su (où PROBABLEMENT ELLE FUT VIOLÉE) mais Marguerite, (ma grand mère, sa soeur) qui avait tout prévu (un appartement à part au village) me demanda de l'accompagner pour aller la chercher à Nîmes, (80 km) elle marchait difficilement, il fallait prendre le car... mon souvenir est flou, je me rappelle l'avoir attendue devant un lieu qui ne paraissait pas si horrible, un ancien cloître, longtemps ! elle avait dû parlementer puis signer je suppose décharges sur décharges, mais, femme d'affaire marseillaise avisée et persuasive, elle obtint gain de cause.. nous revîmes donc au bled .. avec la peur au ventre, et pour moi la consigne de me taire absolument (ce qui explique le flou de mon souvenir) car ma mère, Lydie, s'opposait fortement à ce qu'elle revienne par peur de sa violence** (discussions interminables) ... bref, mise devant le fait accompli, elle s'inclina mais ce fut difficile ensuite entre la mère et la fille, chacune implicitement accusant l'autre de trahison, (Marguerite considérant que Lydie aurait abandonné celle qui était sa seconde mère et Lydie, ulcérée que Marguerite ait agi en dessous contre sa propre sécurité) et au départ ni Jo ni Marguerite ne revinrent au Ranquet (la maison familiale, la leur) cantonnées dans le minuscule appartement du village, à 1km mais dans la vallée, une cote que Marguerite montait difficilement ... mais ensuite, Tante ne donnant aucun signe de déséquilibre, Lydie accepta qu'elles revinssent l'après midi, au rez de chaussée, aussi aménagé en autonome, à condition évidemment que Jo prenne ses médicaments, condition imposée par les psychiatres de l'hôpital. Or avec ces drogues, la malheureuse avait pris 30 kg, cette petite femme aux os très fins (35 kg) qui adorait jardiner pouvait alors à peine se mouvoir. Courageuse, elle les perdit petit à petit... jardinant dans la propriété, ce qui était autorisé, son beruf ! Un vrai bourreau de travail... et c'est là où je veux en venir :

EN FAIT, ELLE N'AVAIT JAMAIS NI REPRIS NI PRIS SES MÉDICAMENTS ANTI PSYCHOTIQUES OU D'AUTRES... ET NE RECHUTA JAMAIS gravement. Une vie certes particulière, solitaire absolument, se méfiant de tous (sauf de Marguerite, de moi, de Jean mon père .. et, modérément, de Lydie dont elle n'ignorait pas, je le crains, qu'elle était responsable de son internement et, si ça n'avait tenu qu'à elle, d'un abandon aux enfers qui eût été définitif*** ... et haïssant presque tout le reste du monde, surtout les médecins ou soignants, mais avec une soeur de 12 ans son ainée qu'elle adorait, ultra performante (et qui, elle, sortait) le travail physique... et une petite nièce qu'elle aimait aussi beaucoup (moi)... et qui seule parvenait depuis toujours, lors de ses "crises'', à lui parler, ENTRANT dans son délire sans le comprendre mais le manipulant au mieux, sans jamais L'ATTAQUER DE FRONT.: AUCUN MÉDICAMENT ! JUSTE LA SAGACITÉ INTUITIVE D'UNE ENFANT DE 8 ANS (AU DÉPART) PUIS ADULTE.

* Elle avait pourtant gardé les enfants de sa soeur, dont Lydie, ses parents âgés jusqu'au bout, ce qui pour sa mère fut une fin longue et terrible qui l'épuisa... aidé à la ferme tout en tenant boutique au village (modiste puis fleuriste) etc) ...
** Réelle, mais dont un épisode seulement concerna Marguerite mais ... bon ...
** *L'image qui me vient à l'esprit, poignante, est la similitude se son attitude avec celle de Youyou le chien de la SPA qui se mourrait de chagrin et que j'ai sorti de sa cage : à la vie à la mort !


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