L'image est un montage, mais le texte demeure ad hoc, je n'aime pas le mot fake : 1 parce qu'il n'est pas français ; 2 du coup imprécis, généralisateur à tort, ''valise'' ; 3 parce que c'est un mot-clôture-barbelé inventé à l'usage des loups pour garder les abattoirs, (pour empêcher de réfléchir, stigmatiser la réflexion critique, exemple, complotiste, point godwin, ces mots escrocs américains faussement scientifiques ; 4 parce qu'il est porteur de l'angoisse qu'il prétend pallier, un mot prététistique en somme! )
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Réponse à Lili
Ces gens-là, pour inquiétants qu'ils soient n'ont QUE LE POUVOIR QUE NOUS LEUR CONFÉRONS, pensons y TOUS LES JOURS, toutes les MINUTES, TOUTES LES SECONDES, MÊME DANS DES CIRCONSTANCES TRIVIALES ! Exemple la connasse (stipendiée ? je crois qu'elle se stipendie elle même ) qui me gueule dessus parce que bcp de gens lisent mes affiches et de fait justifie donc l'abattage auquel j'ai échappé de HAUTE LUTTE, doit donc être baffée... ou ignorée [car c'est ce qu'elle veut : quand on n'a rien fait de sa vie, sauf de ''garder'' (!) une place qui n'a nul besoin de l'être (du reste si elle crie après mes chiens, c'est qu'ils lui font gratos de la concurrence déloyale et infiniment plus efficace !) mes chiens qui aboient, (ça arrive à des chiens aussi) elle rentre illico dans son perchoir, quand ce sont des dealers à shlass qui ''s'expliquent'' en dessous, pas folle la guêpe...) dealers qu'on ne voit plus du tout depuis que j'ai repris Youyou dont ils ont une peur bleue (il était en garde partagée avec mon fils, un week end sur deux et la moitié des vacances scolaires en quelque sorte) ! ]
Oui, il faut se battre à tout instant et pour tout, sauver un arbre ou, dans l'exemple présent, la malveillance d'une ''ennemie'' auto promue : quand on n'a rien fait de sa vie que de glauque voire d'inutile ou de méprisable, devenir ''l'ennemie d'Hélène pose sa femme, on n'est plus n'importe qui !...
C'est bien ce qui à terme (piqûres minimes mais réitérées sans cesse) peut à la fois booster et ÉPUISER. Mais il ne faut pas lâcher. Même crevée.
Car ce sont ces lâchages successifs, ces silences ''bienséants'', ces ''oublis'' révélateurs qui tiennent debout un système hideux qui devrait s'effondrer à la minute... Oui ce sont ces minimes bassesses, ces compromissions déguisées, ces misérables acquiescements devenus bénignes trahisons ... qui font qu'au ''soir de sa vie, on ne peut sans dégoût se regarder en face''.
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