La vie comme un roman 2 réponse, une claque ds la figure verbatim.

R ---- L'amour c'est donner mais non posséder.

H ---- Maxime qui ne mange pas de pain et n'a aucun rapport avec ce que je te dis et te demande
R --- Je t'aime mais je te veux libre.

H ---- Qu'est ce que ça à voir avec ce que je t'ai écrit.? Et ce ''mais'' absurde (il fait beau mais j'ai mal au pied) que vient -il faire là? supposerais tu qu'aimer soit esclavagiser quelqu'un ?  Comprends couic.

R --- C'est des merveilleux moments  que je souhaite partager avec toi.
H ---- ca ne mange pas de pain ... de huile pour graisser la poulie qui remonte un seau malodorant ?

R --- Que veut dire s' engager ... La vie est si courte.
H ---- C'était donc bien ça, de l'huile sur une bielle qui coince. Quand on commence ainsi c'est parce qu'on refuse, non pas s'engager, je n'en demande pas tant, mais de normaliser une relation dobt on veut qu'elle demeure superfétatoire (pour l'autre) quoique confortable pour soi.

R --- Je serais toujours là si tu as besoin de moi.
---- Une faute d'orthographe qui me rappelle l'analyse de Duneton sur celles ci, ainsi un élève qui n'écrivait QU'AU CONDITIONNEL, guéri de son cancer, se mit à utiliser le futur. Non bien sûr tu ne SERAS pas toujours là hélas. Meme si tu l'as été. Merci. Mais je n'ai pas envie de te peser, de faire de toi une nécessité. Un ''en cas'' si sciatique.

R ---- Mais c ' est vrai que j ' ai partage un certain nombre de choses avec Catherine pendant toutes ces années.
H ---- Toutes ces années, hé oui, ça justifie au fond cet accrochage...  La douleur ici infligée, transmutée en colère froide, tu ne la perçois même pas, ok. Toutes ces années, quand même ! Foypenser, ça ne s'élève pas d'un coup d'évangile

R ---- Mais ce n 'est pas de l ' amour. Ça n 'a rien avoir avec ce que j'éprouve pour toi.
H ---- Ah mais oui au fond suis je bête ! Ce n'est pas de l'amour.. Ça rassure. Tu vis benoîtement une existence conjugale de longue mais ce n'est pas de l'amour, rassure toi. Yad'espoir (si tu t'amendes en somme). Comment ne l'ai-je pas compris ñ quelle buse je suis !

R ---- Tu es partie plusieurs fois.  Revoir les Cévennes, ta grand mère, tes parents, etc
H ---- Ressassement auquel il n'est plus utile de répondre. Tu as choisi Paris et de me couper de mon pays, de Marguerite et de mon environnement de base qd toi tu étais avec les tiens tout proches, dont certains me haissaient car non juive...  à ce propos comment va Josette ?

R --- Tu es partie car libre. Tu as rencontré d'autres mecs. 
---- J'espère que tu ne vas qd m pas me le reprocher, toi ? Si ? Je suis partie car déracinés par tes soins.

R --- Je ne te le reproche pas. Tu étais en droit de le faire.
---- J'y crois pas ! La baffe ! Si, évidemment, tu me le reproches par l'assurance que tu clames au tambour ... de ne pas le faire comme si ça n'allait pas DE SOI.

R --- C' était toi. Il fallait que je l ' accepte par respect pour ton droit de femme libre.
--- Sans blague. Généralisations vides qui ne mangent pas de pain, toujours.

R ---- Moi  je t' aimais telle que tu étais.
--- Idem. J'observe qd m le passé, ok. 

R --- Même si j ' aurais aimé que cela se passe autrement.  Je te préférais heureuse que triste avec moi à Paris.
--- Ok, seule parole censée, fût-elle fausse... car à Paris et triste j'y étais tout le temps.

R ---- Maintenant si je quitte Catherine je culpabiliserais tellement que je serais triste a mon tour. 
----  OK. Il suffisait de dire ça, ça aurait economisé du temps.

R --- Il faut nous accepter tel que nous sommes. 
--- Poncifs. Je n'accepterai pas, plus, une relation polygame où tu vas et viens du rêve anarchiste cevenol à la réalite parisienne bobo d'un appart luxe que tu dois à quelqu'une [ qui lors de l'exclusion de ce courageux mec de pôle emploi -- dont le seul crime était d'avoir secouru de pauvres types -comme moi- ignorant des prestations auxquelles ils avaient droit, en les leur révélant-- motus pour les autres] qui apparemment n'a pas bougé un fil, la seule chose que j'ai tiré de toi à ce sujet fut l'exact discours de la hiérarchie et des jaunes, à savoir que le salaud stakhanoviste nuisait aux collègues ne foutant rien (!)

R --- L' important c 'est la chance qu' on a eu de s' aimer. Le temps est précieux. 1 an et demi que je ne t'ai pas touché, pas vu.
---- La chance QU'ON A EUE  sous entend qu'on ne l'a plus, hé oui...

R --- Tu me manques terriblement
---- Tu me manques terriblement à moi aussi mais le désir de sauvegarder mon être, mon  honneur est plus fort que la douleur que j'éprouve de le saccager (c'est à peu de choses près la réponse d'Anne Boleyn à Henry VIII qui voulait en faire sa maîtresse -et la larguer ensuite évidemment-  d'ailleurs peut être eût-elle mieux fait d'accepter car elle aurait vécu plus longtemps.)  Bon, par chance, tu n'est pas le roi d'Angleterre.

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