Quand on abat un arbre ,,,,

Attention ceci n'est nullement un conseil de jardinage, je n'abats pas d'arbres, mais juste un SYMBOLE pédago. Les parenthèses sont une rectification car des pro ont crié, ok ... 

Quand on abat un arbre (cela vaut surtout en ville, par exemple pour protéger un bâti ou autre) il faut (parfois, mais c'est dangereux) user d'une corde assez longue que l'on tire d'un coup sec juste au moment où il craque, en direction de l'endroit où on veut le débiter, (peu de force est nécessaire -mais il faut qu'il soit déjà élagué- et partir tout de suite !). Pour la suite sur ce volet, voir Pierre, Charles et Théo
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Symboliquement, cette chute est notre vie raccourcie : on ne peut dévier d'un tracé exercé par une poussée pourtant minime mais à un moment PRÉCIS OÙ TOUT ÉTAIT ENCORE POSSIBLE, bien qu'on croit être libre. De même un enfant poussé par la société (l'école, internat ou ses parents -mais selon le schémas préétabli toujours identique à gros traits, qui leur fut imposé-) décrira la courbe dont la fonction est fixée par l'immuable équation : il ''choisira'' amis, amoureux, professions... congruants qui le débiteront au mieux des nécessités de la perdurance d'un système svt hideux : bois de chauffe, de mobilier ou de simple compost. Un maltraité ou un malvenu choisira un maltraiteur ; un adulé, un maltraité ; un fils de bourge ordonateur, un fils de prole accepteur, ça tourne rond. C'est pourquoi la solitude, si cruelle soit-elle, est le seul moyen de contrer notre fatum. Ou la mort qui délivre enfin qd l'empreinte a été trop rude, trop anti naturelle et trop puissante pour être vaincue. 

  


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