Le corps humain, une machine à ne toucher que LE MOINS POSSIBLE

La médecine et le corps humain : c'est comme si, devant un supersonique dont on ne  possède qu'une vis et un morceau du flaperon, on cherchait et croirait le comprendre, pouvoir le modifier, l'améliorer, ou même le ''réparer''. 

Le corps humain, NOTRE corps (et animal aussi, bien sûr) est une extraordinaire machine, d'une extrême sophistication qui se répare normalement, le plus souvent, elle-même, dont la ''médecine'' ne connaît, ne comprend qu'une infime partie, et ne peut réparer, reproduire, même un iota, qu'en un minime pourcentage... donc à laquelle il faut au maximum éviter de toucher, le MOINS POSSIBLE,  surtout en cas de dysfonctionnement sous jacent (inconnu ou connu et ''réparé''). Être modeste : ne pas pousser trop loin les expériences pour une hypothétique ''protection'' qui s'avèrera a contrario exposition, ''guerison'' qui s'avèrera aggravation. Vous avez remarqué? Le nombre de gens qui allaient bien, relativement, après une maladie ... qui flambe dès le piketcolegram ? ou surgit qd elle dormait. Diabète, cancer, épilepsie, oedème jambes, pericardites, règles délirantes, (à 60 ans!), AVC etc.. Le corps est susceptible voire jaloux et a horreur qu'on le rectifie, surtout quand c'est pour rien, qu'on  y touche* mais l'apprenti sorcier immodeste veut jouer sa partition... et détruire celles d'origine qui discrètement faisaient du bon boulot, fût-il contre ses ''règles'' inventées, controuvées et dissonantes dans la mélodie (si peu réussie en apparence semble-t-elle).

* dans la plupart des cas car oui, la strepto guérit, la pénicilline aussi, ms c'est une infime partie. Le reste le plus svt déséquilibre ad pejorem et parfois tue (pr Even ''Les médicaments inutiles, toxiques etc...'' de mémoire.)