En vrac Une histoire de village, comment certains 'draguent' parfois (''les femmes sont trop timides, il faut parfois les secouer un peu, elles nous en sont reconnaissantes'' ; Vie d'une vache laitière
L'affaire Bourdin. Ça me rappelle une histoire. Dont je n'ai jamais parlé. Une erreur. Que je rectifie ici.
Les liaisons dangereuses à Sauviniargues. Une petite ville de province. Il y a lurette. Un gus, 20 ans de plus que moi, petit notable kisséfétoutseul, gros travailleur, intelligent (en affaires) mais totalement in-instruit limite analphabète, pas trop mal conservé... tombe "amoureux" (dixit ensuite) de moi. Un ami croyais-je. Toujours chez moi (jardin) mais svt avec sa femme (donc honni soit qui mal y pense). Il m'avait aidée, moi aussi (pour écrire des lettres) parfait ... juste un peu collant (tous les deux car souvent Juju suivait) mais baste... jusqu'au jour où...
C'est l'affaire Bourdin version popu. Celle qui m'y a renvoyée à l'instant. Un matin, alors que j'étais à peine levée, il me saute dessus, me serre très fort contre lui et tente de m'embrasser, ÇA S'EST PASSÉ EN UNE SECONDE, je sens encore son odeur qui le révulse, je le repousse de toutes mes forces et il valse contre le mur (sans doute se laisse-t-il faire car grand costaud travailleur manuel, malgré mon coté sportive et la différence d'âge, il devait être plus fort que moi.. -quoique qu'il était cardiaque qd m-). S'ensuit une discussion qui dura plus d'une semaine (en partie par écrit de ma part car je refusai au max de le recevoir) limite comique ! sur les rapports normaux entre femme et homme. Ahurissant : il avait cru, me dit-il benoîtement, ME COMPLAIRE (!) mon mari étant svt absent, car, de notoriété publique, ''il était un 'bon coup' et il y en avait bcp qui auraient bien aimé être à ma place'' (!) il me cite même des noms ... En gros j'avais de la chance.. ET LEUR SAUTER DESSUS SEMBLAIT SA MANIÈRE HABITUELLE DE PROCÉDER POUR DRAGUER : les femmes sont trop timides, trop RÉSERVÉES, comme on leur a appris, il faut savoir bouger les lignes, LES DÉCOINCER, elles nous en sont reconnaissantes après... etc etc je résume. Je lâche l'affaire quand je vois que c'est partie perdue. Trop métastasé.
Pas un mauvais type malgré tout pourtant, CROYAIS- JE. Mon mari revient, je lui 'en' parle de manière édulcorée en mode humoristique ET C'EST VRAI QUE C'EST DRÔLE ! .. d'où un salut, vague mais quasi amical quand même (je tourne la tête vers le clocher pour voir l'heure!) au sauteur ET sa femme, qui restent des après midi entiers comme quelques autres 'vieux' sur les bancs de la place. Tout baigne donc dans le demi silence bienséant de ce qui EST TOUT DE MÊME UNE AGRESSION SEXUELLE (je ne m'en rends compte que maintenant ! à la lecture de ce post sur Bourdin!) .. preuve que ça ne m'a pas trop marquée, quoique, peut être mais en sous main..
Mais voilà la suite, ébouriffante. Des années après, R m'avoue que le sauteur ET SURTOUT SA FEMME l'ont brieffé contre moi, (ils disaient se sentir le DEVOIR DE L'AVERTIR car on se gaussait de lui) : ''je menais une vie de p. notamment avec, je cite, 'DES' turcs'' .. (l'excès même des propos, leur ton à la fois révulsant et invraisemblable fit qu'il ne jugea pas, COMME MOI, utile de m'en faire mention clairement). Mais le pire est à venir : la femme (limite de la débilité) assura que j'avais, 'EN VAIN CAR IL EST VERTUEUX' tenté de séduire son mari. De même leur fille qui, peu après 'm'interdisit' (!) d'aller à son enterrement, ce que de toutes manières je n'aurais pas fait. Voilà voilà.
DONC MALGRÉ TOUT, MÊME AU RISQUE DE CRÉER DES 'HISTOIRES', IL FAUT PORTER PLAINTE OU A MINIMA PARLER CLAIREMENT DE CES AGRESSIONS QUI POUR 'MINIMES' QU'ELLES SEMBLENT, PEUVENT AVOIR DES CONSÉQUENCES CATASTROPHIQUES. Leur but, ici le but du sauteur, ulcéré par mon refus (à un point que je n'avais EN RIEN MESURÉ, et pourtant il ne s'était pas caché, il m'avait dit en substance que ''bien fait, riche, serviable et top introduit dans le gratin --des joueurs de foot-- qu'il était'', je simplifie, ''il n'avait pas l'habitude qu'on le refuse''.. ça m'avait juste fait rire) son but donc était la vengeance, de surcroît, et là on touche à Choderlos de Laclos, par SA FEMME INTERPOSÉE ou/et par mon mari, l'idéal étant les deux à la fois. Oui, dans un autre milieu, cela aurait pu finir en drame ET C'EST CE QU'IL VOULAIT. Lui chargé de me rosser, elle de m'anéantir de réput ! Donc parlez, car pour éviter une ''histoire'', une histoire ! notre hantise en cas d'agression sexuelle, c'est le complexe Hélène de Troie, on risque d'en susciter une plus grave. Parlez. Même si vous redoutez de ne pas être crue, ça c'est l'argument idéal du ''patriarqueur'' pour vous faire taire. Oui, parlez ! Comme je le fais ... fût-ce des années après ! Parlez !
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''Le fromage ce n'est pas pareil'' ai-je longtemps dit quand j'étais juste végétarienne. Oui c'est PIRE. Ils sont fabriqués à l’aide d'une enzyme faisant cailler le lait, produite par le veau, la nature que nous violons à chaque instant est bien faite, le veau qu'on va massacrer dans les conditions que l'on sait. Il faut des animaux très jeunes au moment de l'abattage, parfois quelques jours à peine, plus ils sont jeunes, meilleur est ce qu'on nomme pudiquement le 'produit'. [Question, que 'font' les petits durant leur si brève vie ? Il têtent pour stimuler leur présure et la montée du lait de leur mère? Autrefois, oui, pour les chèvres, la déchirure sera pire ensuite. ]
Résumé. On insémine les vaches très jeunes. Arrachées à leur étable, parfois à la pique, terrorisées, du moins les premières fois, on les attache à un TRIPALLIUM, (d'où vient le mot TRAVAIL à la base instrument de contention et de torture) et on les fouille, parfois en leur enfonçant un objet ou pour les plus vieilles (VIEILLES signifiant ici fin d'adolescence car elles sont usées vers 5 ans*) le poing dans le rectum, ce qui est très douloureux afin de faire saillir l'utérus rétracté (ce n'est pas un rapport sexuel donc il se crispe) par poussée violentes sur la paroi utéro rectale ; on les fait porter 9 mois, accoucher, la première fois, souvent trop jeune, TIMES IS MONAY, très douloureuse, requiert de l'aide dite 'humaine' ; on leur enlève leur petit si laborieusement fabriqué, elles meuglent de désespoir des JOURNÉES entières, et on massacre ceux-ci pour en extraire leur précieuse enzyme... l'horreur absolue pour la vache forcée sur toute la ligne et qui, en bout de tortures, souvent squelettique, tenant à peine debout, sous antibiotiques pour la faire 'durer', après un long trajet entassée, assoiffée, souvent blessée, sera 'abattue' dans les conditions que l'on sait aussi, merci L214, parfois, quand il y a presse, TIMES IS MONEY, découpée VIVANTE et transformée en ce mystère de transubstanciation qu'on appelle 'VIANDE', (ici bas de gamme car elle a trop souffert et en fait n'est plus consommable). Sa peau et celle de son petit seront utilisées pour des chaussures, sacs, fringues, tjrs bas de gamme pour la sienne, en haute sellerie pour le bébé. Et l'innocente si douce participera largement au réchauffement climatique dont tous nous périssons, on appelle ça élevage, haute couture, gastronomie. Et on en meurt aussi car la malheureuse martyre transmet ses toxines à ceux qui s'en gobergent, seul point positif ici.
* 25 ans de vie normalement
https://fr.wikipedia.org/wiki/Caillette_(organe)?fbclid=IwAR3J2FWAiRA39uq4NJkMWPpTVJhxQU6Z342v8GRDb5Jujgr8u3E01RQhn3Yhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Caillette_(organe)?fbclid=IwAR3J2FWAiRA39uq4NJkMWPpTVJhxQU6Z342v8GRDb5Jujgr8u3E01RQhn3Y
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L'homme aux oiseaux, une lumière dans Paris
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