Un livre à lire absolument ! La psychologie des femmes en elles mêmes n'existe pas, elles SONT TJRS ÉTUDIÉES EN CAPTIVITÉ, SOUS L'RMPRISE DE LA TERREUR. Exact mais ....
https://zintv.org/aimer-pour-survivre/
EXCELLENTISSIME (''la psychologie des femmes comme telles n'existe pas, elles sont toutes étudiées en situation de survie en milieu hostile, de terreur des hommes, aux prises avec un complexe de Stockholm qui brouille tout'') .... sauf que justement dans certains cas dont le mien, c'est précisément ce complexe de Stockholm ultra répandu qui fonde à n'être pas TOTALEMENT FÉMINISTE. Impossible : ceux qui ds ma vie m'ont fait le plus de mal (1) sont des femmes, des syndrome de Stockholm en effet : Adèle par exemple dressée dès l'enfance ds l'idée que pour sortir de la misère, il fallait flagorner les puissants, (évidemment des hommes mais PAS SEULEMENT*) À N'IMPORTE QUEL PRIX, y compris la quasi prostitution, Adèle qui n'hésite pas à accomplir un geste** abject contre Léna, une 'innocente' dont elle s'était préalablement servie pour se hausser lorsqu'elle s'imagine -en totale contradiction avec le réel- que celle-ci, utile autrefois, risquait de lui nuire : elle vole une lettre adressée par Léna à son mari, (le cousin de celle-ci cad un 'beau frère' putatif) ne la lui transmet évidemment pas.. mais lui répond au NOM DE CELUI-CI par une lettre d'une inénarrable cruauté, le but étant de les faire se séparer définitivement et ça marche... 5 ans (jusqu'à un enterrement où ils se revoient et se parlent enfin.)
(1) A part UN cas ou disons 1,5, le plus grave étant mon 1er mari, le demi étant mon père.
* Le ppe étant de séduire la femme pour 'avoir' le mari (sans connotation sexuelle) un bourgeois fort utile (quitte ensuite à se retourner contre lui quand, un échelon franchi, un 'plus gradé' l'exige) ... ou la fille pour qu'elle fasse barrage contre sa mère qui l'a demasquée, un obstacle quasi invincible dans une ascension sociale bien conduite... puis la râcler qd celle -ci devient superfétatoire voire dangereuse (malgré elle.) Oui hélas cela existe ... jusqu'à la mort parfois et c'est inextricable : même si je souscris pleinement à ce qui est dit, il n'en demeure pas moins que depuis cette ''mésaventure'' et stt la mort de Sara, dont j'ai l'impression d'être le 'bras armé' à présent, je me méfie davantage des femmes que des hommes : certes ce st des h qui l'ont violée ms c'étaient des femmes qui la leur avaient, fût-ce indirectement, offerte en pâture en l'abandonnant ou en forçant sa mère, démunie, sans diplômes, mise à la porte, de le faire, désolée il fallait le dire.
** Entre autres car il y en eût beaucoup, dont l'un fut MORTEL pour sa victime, (rejet violent avec calomnies associées d'une enfant née hors mariage qui ''faisait tache' ds l'ascension sociale de ces gens) laissée à la DASS nuit et brouillard, maltraitée, violée.. jusqu'é son suicide, elle avait tenté en vain de retrouver sa famille (en fait c'est sa mère qu'elle voulait retrouver ) si misérable fût-elle, le dernier rejet lui a été fatal.
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