5 : résumé, les cocus d'enfance et familiaux

 Testament des cocus d'enfance et même au delà ; survivre... à ces pubs à la con de Noël, gâteaux papimami zenfantzheureux. Merde...  car de toute cette souffrance, il faut faire quelque chose pour qu'elle n'ait pas été vécue en vain ... qques préceptes pour mes 'frères et soeurs' volontaires ou non :

1: Éviter de se jouer la comédie (à soi même !) dans le désir d'être ''comme tout le monde'' éperdu et inassouvi, cad avec une ''famille'', fratrie, collatéraux, amis de la famille etc... (perso il n'y eût jamais de visite d'amis de mes parents dans tte mon enfance, ils n'en avaient pas) car certains événements, les fêtes notamment, renvoient inévitablement à ce constat brutal sans parachute qui met ko.

 Un constat que l'on répugne à faire et pourtant IL LE FAUT. ''JE N'EXISTE PLUS POUR EUX. DU MOINS PLUS EN TANT QUE MEMBRE D'UNE FAMILLE, LA LEUR. Fussais-je à sa source''. Ou peut être pour cela ?

2 : Être honnête : être seule comporte quelques avantages, il faut l'admettre, j'allais écrire L'AVOUER, mot révélateur : oui, on craint tjrs que les gens se demandent ce qu'on a pu faire ou ne pas faire pour qu'il en soit ainsi*. Réponse : rien on va voir. Cesser même d'y penser trop fût- ce par mails, vidéo, articles partagés ...  il faut ACCEPTER ET TRAVAILLER cette réalité. 

3 : Oui, comprendre. Après tout, l'HORREUR du passé (ds mon cas) pour y survivre, on l'oublie tjrs mais tapi en nous c'est un fauve prêt à bondir qd la bête blessée boîte et dévoile sa fragilité. 

4 : Et stt : CE N'EST DE LA FAUTE DE PERSONNE ! JUSTE LES CONSÉQUENCES DE DRAMES DU PASSÉ Y COMPRIS TRÈS ANCIEN, UNE ONDE DE CHOC ENCAISSÉE DE PLEIN FOUET, IL FALLAIT BIEN QUE LA VAGUE SOULEVÉE PAR LE TSUNAMI S'ABATTE À UN MOMENT SUR QUELQU'UN : CE FUT MOI, PUIS MES ENFANTS UN PEU MON MARI, C'EST SIMPLE ET INÉVITABLE.

5 : Cursus en vrac : journaldutempsquipasse.blogspot.com 

Conclusion. IL RESTE QUE LA PSYCHOSE PROTÈGE CELUI QUI SOUFFRE TROP, et la séparation, même si elle (ma fille) l'avait choisie contre moi, l'avait peut être laminée, R., cadre sup surchargé, ne pouvant s'occuper d'elle comme moi ; la pdychose peut être une sorte de choix voire de beruf : ENFANT NE RÊVAIS- JE RIEN TANT QUE D'ÊTRE ACCEPTÉE DANS UN ASILE PSY ET Y RESTER À L'ABRI TOUTE MA VIE -ou morte dans le tombeau familial si agréable- (je suis une aspi) il y en avait un fort tentant avec un parc arboré et stt des hauts murs que je badais?  

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(1) je m'éloigne comme toujours pour ne pas faire se disputer des gens, ex un couple dont en ppe la femme ne m'apprécie pas, (rarement l'inverse) schémas de mon enfance réitèré à l'infini. 

(2) c'est là que je choisis d'être internée en hôpital psy, pour faire cesser l'horreur de cette épée de Damoclès suspendue sur nous et que je me tondis après avoir renoncé à me crever les yeux. Ça devait suffire.

* tel ce flic flamand en 70 qui, alors que, défigurée de coups, je voulais porter plainte contre mon premier mari, m'a dit, réprobateur :''qu'est de que vous avez pu faire pour qu'il vous mette ds cet état'' ? La victime est tjrs suspecte ! 

** psychose 'blanche' très probablement, heureusement mes parents n'étaient pas consanguins (!)

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