L'école dite 'NORMALE', je crache mon venin, 48 ans après.. j'ai fait du shiatsu, ça carbure.
L'école dite 'NORMALE', je crache mon venin, 48 ans après.. j'ai fait du shiatsu, ça carbure.
Plein de coïncidences... un bon génie me parle !
Trouvé cette blouse au marché... ça ne te rappelle rien Doudou ? L'école dite ''Normale'' et qui ne l'était pas, précision, école NORMALE INFÉRIEURE, ne nous voilons pas la fesse ni la face (puisque c'est l'antonyme de SUPÉRIEURE (IL FAUT QUE LES PROLES, LÉZUMBLES kondit RESTENT À LEUR PLACE, INFÉRIEURE, NON MAIS ! sinon rienevaplus ! merci Boltanski qui m'a fait comprendre toussa en 10 pages d'un petit livre génial.) LES BLOUSES ! 4 couleurs : on savait de loin qui était quoi, puis nos noms brodés par nous même comme l'étoile par les juifs (ouijesécépapareil) moi j'ai fait petit petit écrit mais les bonnes, au point de croix, faisaient dans l'énorme, c'était du lèche kapo .. sur le haut à droite pour être plus sûr... non, sûrE puisque ce monde était exclusivement féminin. Deux types de blouses identiques mais de deux couleurs différentes, on devait en changer d'une semaine sur l'autre (pour s'assurer qu'elles étaient bien lavées chaque dimanche par les mamans, onséjamé avec lézinférieurs.) Les écoles dites Normales n'existent plus depuis des lustres, leur anormalité ayant enfin fini par choquer la Cour européenne dédroitsdelomistes et fait condamner la France s'il m'en souvient pour exploitation d'enfants (mais combien de suicides a-t-il fallu mmm ?)
D ----- Presque ça, rose uni, et petits carreaux bleus et blancs. Mais moi, déjà préparée à la vie en commun avec des colo et les Eclai, j'ai été très heureuse à L'E N. Désolée de ne pas avoir vu ton ressenti, à l'époque
H ----- On se voyait peu, presque pas. Et je crois que c'est certes par un caractère d'équilibre exceptionnel et remarquable que tu as été ''très heureuse à l'EN'' mais aussi parce que comme TOUTES tu venais d'un collège avec une classe dite de ''spé'', moi, j'étais la SEULE à être issue d'un lycée donc par ma seule présence, à démentir le dogme de l'infaillibilité pontifi euh collégiale des ''spé'' en ce qui concerne le concours => le boucémissairisme s'en est logiquement suivi ; un exemple, j'étais plutôt bien vue ou disons normalement vue par les profs extérieurs ms harcelée à l'os par les profs-maison svt remarquablement nulles et sadiques, pour qui je représentais un démenti insultant au dogme, ceci avec la complicité active (et selon les m ppes) de certaines élèves : j'avais pris la place d'une copine à elles ainsi vouée à la déréliction par ma faute (et qd je dis déréliction ce n'est pas exagéré, exemple GF, ma cothurne, qui connaissait ce genre de maltraitance, et qui du reste, et c'est remarquable! n'a jamais fait écho avec mes harceleuses) ... harceleuses? certes pas toutes ! mais comme disait Gustau à Lydie ''les plus dangereux ne st pas les miliciens dont on se méfie ms cette masse amorphe qui suit le mvt le plus puissant ou qui prétend l'être et de fait le DEVIENT''... autre ex : la prof de physique qui me harcelait ts les matins, tanquée derrière moi pdt les manip, sifflant sa rage jusqu'à ce que je commette une maladresse qu'elle se réjouissait de sanctionner. La cause ? La malheureuse, outre sa laideur extrême, voulait m'interroger, me torturer plutôt, à l'oral et .... impossible ! j'étais APHONE ! elle pensait que je le faisais exprès et a plusieurs fois tenté de me piéger, en vain, je ne FAISAIS PAS EXPRÈS. Le plus drôle est que ça cessait d'un coup vers 10 h qd le cours était fini, ça la rendait folle. Idem pour G la prof de maths (maison) qui m'avait confisqué une boucle d'oreille à laquelle je tenais... et la malheureuse prof de couture, obsédée sexuelle qui avait voulu me coller un samedi parce que j'avais les cheveux mouillés et devais, je cite ''être nue sous ma blouse''. Ce n'était évidemment pas le cas, on partait juste après son 'cours'. Je sais, ça fait Emily Bronte ms je pense que bcp de ces f étaient l'archétype des romans noirs anglais du 19ième, des obsédée sexuelles cruelles mode lesbiennes refoulées (ou pas, qu'en sais je ?) parfois type butch, ex la pionne dont la voix était totalement celle d'un mec et qui en jouait pour ns terroriser surgissant le soir... et le matin, tirant d'un coup sec les rideaux puis les couvertures (!) pour vérifier je suppose que ns ne ns masturbions pas ? ou pour nous zieuter nues je ne sais pas. Une sorte de 'viol' soft, je pèse mes mots. Peut être ta section, meilleure ! était-elle différente, plus intello (?) que la mienne, qui je pense était plutôt nulle ? N'oublie pas, j' étais la risée : 72 ième sur 72 ! Place vite remontée au 6 ! car provenant que je n'avais ni le cahier de chansons avec dessin ni appris les mvt de gym etc ... j'avais juste demandé à la prof, sympa, de me faire passer en dernier pour qu'en les voyant j'aie le temps de les apprendre, elle avait accepté, sans agressivité (elle était était une prof 'normale') (j'avais fait 5 ans de danse) ça a marché, je les connais encore ! Par contre en chant la saloperie, ironique, odieuse m'a collé une très basse note, 0 peut-être ? qd Tantie, dite Tosca ds la famille, notre 'diva', prétendait que peut être je pourrais avoir sa voix, passons) ce qui prouve à quel point sa haine, non cachée !* était intense ... Donc je crois que j'étais ds la section des plutôt ''mauvaises'' ce qui svt est le pire qt au harcèlement d'un bouc émissaire, me semble-t-il et qu'il est difficile pour toi de t'en faire une idée, d'autant que je comptais vraiment très peu et passais au profit et pertes. Autre paramètre, mes parents, ravis d'être enfin débarrassés de moi, déménageaient ds un trou perdu des Cevennes et je ne pourrais plus revenir les week end. Ils m'avaient laissée sur le bord du chemin.
* celle là adorait les garçons et détestait les filles, une sorte de.. comment dire ? Pedo larvée type Macaron
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