Mésaventure d'une aspi, tacle d'une narcissique et le fil qui s'en est suivi ; réponse à Nadine :" si le temps perdu peut se ''retrouver'' c'est le miracle de l'art, l'écriture""

 Mésaventures d'une ''aspi'' ça arrive tout le temps. Voici qui fera comprendre le truc à beaucoup et plaira à ceux qui le vivent. Soit un petit article, certes colère, agacé disons. 

《 Le Jour de Gloire est arrivé. Lettre ouverte à celle (S) qui annonce d'emblée ''COMME VOUS L'AVEZ CONSTATÉ ...'' (sic !) ... ( j'ai un cor au pied, ça rime !) Euh, je n'ai rien constaté du tout, navrée, je devais avoir l'esprit ailleurs, avec ce covid en Inde, on rate l'essentiel, distrait... pour ''nous'' annoncer qu'elle ne publie à présent ''que des photos de ses ballades'' (si si ! on va donc être privées des nourritures intellectuelles qu'elle nous concédait, je sens venir des suicides ! ) tout le reste dit-elle au sujet des réseaux sociaux étant bas instincts remués, piratage d'idées, stériles débats strictement sans aucun intérêt etc ... car, elle vient de le ''constater'' et sonne haut l'olifant de Roncevaux, on ne change rien par le logos ... (poil à l'os) ... une narcissique sortie de l'oeuf qui se croit le centre de l'univers et qui l'est sans doute pour deux ou trois suivantes ... Ça fait chic le désenchantement vu de Sirius, surtout quand on a la flemme et les moyens. Juste une trivialité, je suis comme ça : CUI BONO* ? Une caméra sophistiquée, des loisirs qui ne le sont pas moins, donc chers, que sais- je ? c'est SU-PER ! quant au logos pfft ...Une autre remarque : une lutte a D'ABORD ÉTÉ UNE SOUFFRANCE CONSCIENTISÉE PUIS UNE OU DES IDÉES ENTRE CHOQUÉES POUR LA COMPRENDRE ET LA VAINCRE, ce qui a allumé l'iskra et généré les acquis sociaux dont vous profitez comme tous, acquis que, par de belles images de paysages et de chatons qui nous enchantent, nous sommes en train de dévoyer et au final de perdre. Cui bono ? (*À qui cela profite-il?》  


S ------ Vous êtes odieuse. Adieu. 

V ------ Triste personne jalouse et méchante.

Moi, (Hélène) : 'like' ! (Bien que je trouve que V. exagère  un peu). 

V ----- Je parle de vous votre diatribe est juste fminable.

H ----- Ah bon, excusez moi j'ai cru que cela concernait l'autre, ça s'emboîtait bien quand même ..

V ----- Vous êtes fière de cracher sur quelqu'un que vous ne connaissais (sic) pas ?

H ----- Ça ne rate pas, les fautes d'orthographe, (souvent intéressantes) ..  

Marie ----- De qui parles tu Hélène ?

H ----- Je crois qu'elle s'est bien reconnue

Y ------ Les réseaux sociaux ne sont pas fait pour jeter des personnes en pâture c'est juste lâche et ignoble, c'est une amie que je respecte bien.  (Ndlr, la notion de respect, aïe,, Et le ''juste'' pour ''seulement''et la personnisation contre la conceptualisation* re aïe. ) 

H ----- On peut aimer quelqu'un qui précisément met à mal le logos (~ la philosophie) c'est votre beruf (appel divin, ~ vocation) mais le mien est de lui restituer sa valeur absolue, absolue c'est à dire pour TOUS et non juste pour UNE. 

Z  ------ Hélène, une ballade", ce sont des mots, et non pas une marche (balade).

Moi ----- Oui, merci, la faute ne m'avait pas frappée en effet, mais c'est à ''vous ne connaissAIS pas'' que je faisais allusion. Claude Duneton avait fait un petit bouquin là dessus où il disposait que les fautes avaient un sens (inconscient ou sous jacent) citant notamment un élève malade d'un cancer qui, miraculeusement guéri, s'était mis à écrire normalement au futur et non fautivement au conditionnel comme il avait coutume! Là, V parle de moi comme si j'étais un ''il'' ou ''elle'' et non un ''vous'', distanciation bancale qui peut être soit péjorative soit méliorative, en fait c'est plutôt comme si elle était mal à l'aise, se sentant obligée d'écrire par ses affects contre le bon sens, matérialisé par la faute d'accord.

Z ----- il y a l'expression "balayer devant sa porte". Sur ça : bonne méditation!

Moi ----- Décidément je ne vous comprends pas, c'est significatif : l'une me parle d'arrogance et de méchanceté et je 'like' (quoique gênée, c'est excessif mais ça collait un peu avec S) puis du coup se voit obligée de préciser que c'est de moi qu'il s'agit (!) je n'avais pas pigé ; quant à vous, peut être pour ironiser ou me tacler vous 'me' corrigez une faute (sauf qu'elle n'est  pas mienne mais celle de S que je cite et, je le comprends après coup, que vous 'suivez') ... envoi mal ciblé que je n'ai pas davantage saisi ! Des balles qui se croisent de travers.   

... par parenthèse je suis une Aspi et ne réagis pas ou lentement aux méchancetés, simplement parce que le plus souvent je ne les VOIS pas, en étant moi même incapable sauf par lapsus comportemental INVOLONTAIRE (comme tous les Aspi) ce qui peut en effet blesser et fait parfois croire à un humour imparable ce que ce n'est pas, même si parfois j'en jouais pour me ''cacher'' (plus maintenant, la preuve.) Notons que cette 'condition' à la fois protège et expose.* 

En revanche l'engagement philosophique éidétique constitue mon socle irréfragable (comme celui de tous mais beaucoup ne le voient pas ou le refusent) et quiconque le met à mal s'expose à un clash, je sais faire aussi, ms seulement ds ces cas. 

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Voilà mes ami-es vous avez compris comment fonctionne une Aspi certes en ce moment un peu fatiguée (donc je lâche la bride) mais bon...  

* Exemple, une ''enemie'' (issue d'une autre caste -milieu financier sud américain, banque et combines d'ascension sociale, bluff, chirurgie esthétique et paillettes, je simplifie) tentait tout le temps de me rabaisser sans que je ne comprenne, il m'a fallu longtemps et les explications de tiers (il s'agissait de la soeur aînée de mon mari) pour saisir. Mais cette ''innocence'' peut aussi faire de nous des boucs émissaires faciles par ex si on est affecté d'une quelconque différence vite taclée comme ''tare'' fondant des salopards (en le cas salopardes) à accentuer les coups à mort, ça m'est aussi arrivé deux fois, à Besançon, au lycée Pasteur, parce que j'étais 'jeune', méridionale et pas catho, et à l'école Normale d'Aix, parce que je venais d'un lycée, la seule, et de facto mettait à mal l'imarescible doxa proclamant l'excellence et l'impérative nécessité d'une ''spéciale'' pour être reçue au concours. J'ai tenté de me suicider alors. 


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À Nadine, le temps perdu ?

Parfois il y a un miracle tu sais, et le temps perdu comme tu dis peut se retrouver, c'est la magie de l'art, de l'écriture ... qd j'ai retrouvé les lettres de Gustau bien après sa mort, j'ai ''vu'' renaître Lydie, morte elle aussi, jeune et belle, et pour moi ce fut un enchantement, j'en suis encore empreinte. J'ai compris sa détresse que j'ignorais.. Pardonner ? Non cela ne se peut* mais comprendre, oui.

* Les cris, les coups, l'interdiction de chanter, d'écouter de la musique, du piano, l'abandon à l'Ecole Normale alors que j'avais prévenu que si j'y restais je me suiciderai, puis l'interdiction d'étudier ensuite, cela ne peut s'appeler autrement que tentative d'homicide. Si j'ai survécu, je ne le dois qu'à moi

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