Le viol selon les époques

VIOLER C'EST LE MUST 
Je viens à l'instant de lire ceci (mais ça a glissé très vite) sans doute de féministes : ''aucun homme ne se reconnaît dans le portrait du violeur, ça leur permet de ... (je suppose) se dédouaner sur d'autres''. Ce n'est pas du tout mon vécu: quand j'ai failli être violée voire pire sur une bretelle d'autoroute vers Cavaillon en 70, le gus, un camionneur, très beau physiquement (ce pour quoi je ne m'étais pas méfiée!) a eu le temps de me dire qu'il n'en était pas à son premier coup et était sûr de ne rien risquer : comme LES AUTRES, personne ne me croirait''. Celui-là du moins était conscient et fier de lui, je présume qu'il devait se vanter auprès de potes, violer c'est viril, un vrai mec, pas une fiote, du moins à l'époque, peut être cela a-t-il changé ? (je n'ai plus jamais fait de stop depuis!)


 

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