En vrac, le plantain; si dans quelques jours les méthodes qui n'ont pas marché jusque là continuent à ne pas marcher... ; et la mort de quelqu'un...

 Cicéron, dit -on, à la mort de sa fille, s'envoyait à lui même des lettres de consolation. De même Ronsard à un certain du Perrier (''Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, l'espace d'un matin''..  archi faux, on ne peut être à la fois poète et botaniste... quoique tout de même !)

Que faire quand cela advient à un autre, dévasté, non pour la mort de son enfant mais pour celle de sa compagne ? Le tenter. Reste que l'exercice est difficile lorsque celle-ci, vous haïssant [sans raison ni même que vous ne le sachiez au départ (1) vous a fait, mettons en 3ième position, le plus gd mal qui vous fut fait dans toute votre existence, assez longue] mais à l'instar de la reine Marguerite de Provence à la mort de Blanche de Castille, on peut avoir de la peine par procuration, Marguerite répondait à son Louis IX de mari, (plus connu dans la postérité sous son nom de scène, Saint,) étonné, qui l'interrogeait sur son chagrin ''ce n'est pas pour elle que je pleure, Sire, c'est pour vous.'' )

(1) Jalousie ? disons un service rendu, au fond simple, mais qui, imprévisiblement, n'eût pas le résultat escompté voire un résultat pire* (aider quelqu'un, c'est s'en faire un ennemi? en ce cas, oui.) Ou plus prosaïquement une haine ... provenant d'une AUTRE (qui l'aurait brieffée) ms qui s'adressait en fait, à ma MÈRE, la Sultane (qu'elle n'avait jamais pu atteindre malgré son désir, 50 ans quand même et on n'a rien vu) : s'en prendre à moi, une ''jeune'', juste séparée de son mec, avec une fille anorexique, fragilisée +++ c'était facile, surtout après la mort de ma mère. Les hauts de hurlevent version Cévennes.

* Question sémantique : pour certain.es le logos n'a qu'un sens de bavardage sans portée efficiente : par exemple dire (avec emphase) ''c'est affreux, ma nièce nous a été arrachée par la DDASS, on sait même plus où elle est, cétafreux cétafreux etc..'' n'a aucune vertu opératoire réelle, juste celle de passer, fût-ce 3 secondes, pour une ''bonne'' personne sensible, désespérée, courageuse kinenpemais, puis rideau, on n'en parle plus. Et si ''on'' retrouve l'enfant ''perdue arrachée à des parents- grands-parents-tante si  bienveillants'' en trois jours, coup de théâtre .... ILS N'EN VEULENT PAS, dehors l'intruse. Crade, avressive, irrécupérable. C'était juste le discours ''taraf''. Car la petite raconte alors une terrible histoire qui incrimine à bloc toute cette famille catho si parfaite. Oui, ça peut être la base d'une haine envers la CONNASSE qui a réagi, trouvé et écouté l'enfant (12  ans). Moi.

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A partir de Jesus Cardenas  (si si) digest de doctissimo épuré des pubs officielles (encarts qui surgissent sans prévenir, gênent la lecture et fatiguent les yeux +++) ou discrètes mine de rien, glissées, (en gélules!) insupportables. 


C'est une petite plante vivace de 10 à 60 cm de haut. Qui comprend essentiellement le majeur et le lancéolé. Pollinifère et nectarifère, les fleurs nourrissent nombre d'insectes, notamment les papillons. Et les graines dont les oiseaux sont friands. On utilise les feuilles de la plante fraîches ou que l'on fait sécher, et les racines. 


Il comprend des vitamines A, B, C et K, du tanin, des glucides, du mucilage (bcp!), ds la pectine, des flavonoïdes, de l'ampigénine, du calcium, du phosphore, du fer, du soufre, du zinc et de l'aucubine. Les infusions peuvent être prises plusieurs fois par jour (une poignée parctasse en cas de carence). . Les broyats, directement appliqués sur la blessure, frais. Plante médicinale incontournable utilisée pendant des siècles comme remède majeur, le plantain, très commun et très répandu mérite qu'on le redécouvre, étant donné ses effets contre des maux très divers, (essentiellement voies aériennes, peau ou voies urinaires) : il est anti-inflammatoire ; antitussif ; traite des affections respiratoires, des inflammations des muqueuses et cutanées, plaies, brûlures, crevasses, gerçures ; infections urinaires, hémorroïdes et constipation  ou, en externe, l'acné juvénile, l'eczéma, en cataplasmes pour arrêter les saignements et activer la cicatrisation et en collyre en cas de conjonctivite ou pour décongestionner les paupières. Mieux, il traite aussi l'ulcère gastro-duodénal, aide à la consolidation des fractures et plus il est diurétique et circulatoire donc détoxifiant.

Connu depuis l'Antiquité, il était aussi utilisé du temps des druides et considéré comme remède miracle, Pline le prescrivait pour traiter 24 maladies. Jusqu'au début du XXe siècle, il fut utilisé à la fois comme aliment et comme plante médicinale, (troubles hépatiques, brûlures d'estomac, asthme, affections respiratoires - bronchites, rhumes, toux- et laryngites.)

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