Metoo, ce que cela généré chez nous : le meilleur et le pire, la trahison

 A propos des femmes anti féministes qui fleurissent comme vigne au soleil en ce moment, parfois taclant odieusement les moins gradées, ces pauvres filles ''qui ne savent pas écrire'' qui auraient couru en jouant des coudes pour ferrer le gros poisson ... et l'accuserait à présent de viol... pour s'octroyer un peu de notoriété... et faire comme tout le monde. Car c'est facile ! Il suffit d'un post anti féministe allégé  *LORSQU'ON EST UNE FEMME, POUR UN MEC, ÇA NE MARCHERA PAS) .. et on n'a plus qu'à attendre ça va arriver en masse, surtout si on a ajouté une image assez chic voire sexy ... 

Ici, le pathétique frôle l'odieux car ce sont parfois, que dis je, presque toujours, des femmes qui sont passées sous la barre..  victorieusement croient-elles, (et en un sens c'est vrai) et qui l'ont ensuite non seulement oublié mais se prennent de rage, non contre  le système qui les y a contraintes (car elles sont aussi des victimes) mais contre les malheureuses qui COMME ELLES ONT DÛ PLONGER. 

L'une est intéressante, pardon pour l'autre qui a l'air de forcer ses provoc pour tenir, hé oui ! elle, le haut de l'affiche ...  séductrice, ne reculant devant rien, y compris un des pires client sur la place publique, et elle a ainsi gagné une place moyenne, mais autonome, le top étant de se libérer ensuite de qui vous a hissée contre compensation, de le faire oublier...  (ok, des mecs font pareil) ... mais par un acharnement terrible contre les ''ratées'' (ou celles qu'elles jugent telles et méprisent) : une cruauté parfois extrême incompréhensible. Ainsi Adèle se réjouit-elle OUVERTEMENT de la récente déconfiture financière de celle qu'elle a courtisée avec succès er lui a procuré son 'poste' ... et qu'elle a trahie aussitôt sur ordre du patron ... et se moque-t-elle avec un cynisme impensable de ses minables achats. Ainsi celle dont je parle à présent se paie-t-elle le luxe d'un dézingage public méprisant envers ces ''petites sottes'' arrivistes qui ensuite, si c'est raté, portent plainte ... Ce fut son cas, mais avec plus de talent peut être puisqu'elle n'a pas eu à avoir recours à ces extrémités cheap de gentuzza ratées  ...  c'est sans doute elles qu'elles haïssent, haine qui devra se déverser quelque part, car elles ont compris (c'est simple quand même !) que le plus productif était de la déverser sur les plus faibles, ça ne mange pas de pain et ça attire tous les suffrages des salopards (cette espèce, grâce à metoo se faitsant rare, une femme de cette veine sera tout de suite remarquée et chouchouté, une carrière à venir peut -être ) ... 

Maus le pire est lorsque ces femmes sont précisément parmi les laissées sur le bord du chemin... qui vont, en descendant d'un cran, s'en prendre en principe à plus pauvres ou plus démunies d'une autre manière ... ou à juste un peu moins pauvre par jalousie. On a l'impression que le metoo a fait surgir en nous le meilleur... et ponctuellement le pire, chez des femmes d'habitude intelligentes, sorores, du moins pouvait-on croire. À tort. Qui s'avèrent banalement parfois l'image- type de ce que le système fait en nous de plus misérable jusqu'à la trahison, reliée à une confusion typique de gens relativement inistruits entre idée et posture, (mode je pense ce que je veux cémonopinion) .. quand le logos est opératoire et nous domine heureusement. La philo, l'éthique, la pensée, (le logos donc) ne sont pas un jeu... ni une question de ''goût '' !