Klaus Schwab, une dystopie tellement évidente ET abominable à la fois qu'on se dit selon le mot célèbre de Lydie ''c'est trop affreux donc ça ne peut être ''
Qu'en pensez vous ? Merci Nicolas.
Le livre de Klaus Schwab pote à Atali, fondateur du Forum de Davos) ''Covid19 : la grande réinitialisation'' est une magistrale propagande de guerre qui révèle l’instauration d’un nouveau communisme pour 2030, qd rien ne sera plus désormais comme ''avant'' le Covid: les opposants politiques seront psychiatrisés (réseaux sociaux, GAFAM), instauration d’une surveillance mondiale des populations, accélération des mouvements migratoires, transhumanisme et destruction radicale des structures familiales, luttes intersectionnelles portées à leur paroxysme, réduction (physique) de la population mondiale de 7,5 À UN MILIARD par le réchauffement climatique (cas la mort de tous les peuples), pour une ''élite'' qui règne sans partage sur une humanité résiduelle à laquelle le bonheur est imposé contre sa volonté. La fin de l’ouvrage se termine en effet ainsi: ''Je ne possède plus rien, je n’ai plus de vie privée et jamais la vie n’a été aussi belle!''
Ce livre a été écrit par un illuminé, illuminé mais puissant, qui conseille et oriente les politiques occidentales. Caricature de socialisme messianique comme aux pires heures de l'URSS. Pour le bonheur de l'humanité il faut l'asservir sous tout les prétextes, réchauffement climatique, Covid ! C'est une déclaration de guerre. .
Adaptation résumée de la traduction de l'article des journalistes dissidents du Guardian le 12 octobre 2020.
''Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes'' Machiavel, ''Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres !'' La Boétie. La maxime doit devenir pour nous tous le meilleur antidote au projet eugéniste de Klaus Schwab dont le livre se veut le bréviaire et la feuille de route d’une prise d’otage mondiale qui a commencé, afin de soumettre les peuples dans une dictature sanitaire pour mettre en œuvre la grande réinitialisation du capitalisme.
Qui est Klaus Schwab ?
Il est né en Allemagne à Ravensburg en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum de Davos (WEF) qui rassemble depuis 1971 le gratin de la dite élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière et des médias, à l’image d’autres organisations plus informelles (Bilderberg, trilatérale ) rassemblant chaque année des décideurs internationaux parmi lesquels Jacques Attali, Christine Lagarde, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockefeller... pb : est-il possible de répondre aux défis de notre temps avec des appareils de coordination contrôlés par des pignoufs aussi restreints uniquement sélectionnés en vertu de leur pouvoir et de leur fric, issus de quelques pays élus par personne, délégués par aucune autorité publique et alignés sur le dogme du marché autorégulé » . Mais voilà, le dit marché autorégulé donne des signes de faiblesse, la crise des subprimes de 2008 montre à quel point une gestion confiée à un groupe restreint et aux favorisés du marché est injuste, atroce et meme pour eux merdique. Ndlr, ils ne l'ont pas vu avant ? Bien sûr, mais le pb est que les écorchés, innocents devant de telles turpitudes dantesqueset évidentes pourtant, comme svt les pauvres bougres que ''nous'' sommes ont laissé faire.
''Ce système de création monétaire kafkaïen voulant que l’argent soit créé à partir de dettes et d’intérêts qui nous obligent mécaniquement à générer perpétuellement de nouvelles dettes plus grandes que les précédentes est à bout de souffle. Ndlr, une pyramide de Pongi à ka MADOFF. Un système d’esclavage financier qui porte en lui les germes de l’autodestruction, puisqu’une dette en constante augmentation exige une croissance en constante augmentation et donc des émissions de CO2 toujours plus grand.
Pour éviter la surchauffe qui ne peut mener qu’à un effondrement généralisé de tout le système financier dans son ensemble, Klaus Schwab et ses affidés ont imaginé un scénario de décroissance accélérée appelé grande réinitialisation, ou « grand reset » qu’ils s’appliquent à mettre en œuvre aujourd’hui avec le Covid. De même que ce sont les États, donc les peuples, qui ont sauvé les banques de la faillite lors de la crise des subprimes de 2008, ce sont à nouveau les peuples qui sont mis à contribution pour éviter le naufrage financier suite à cette pyramide la dette devienue insoutenable.
La décroissance de Schwab passe par la mise au pas des peuples en leur imposant une dictature sanitaire par la peur d’un virus pour endiguer toute croissance de la consommation et saper des pans entiers de l’économie jugés non essentiels : culture, tourisme, restauration, PMI-PME, le point commun de ces secteurs économiques étant qu’ils utilisent tous, entre autre, la monnaie papier pour leurs règlements, monnaie que veulent faire disparaître les grands argentiers de la planète pour faire advenir la monnaie cryptée et mieux tracer et contrôler la population à l’image de ce qui se fait déjà en Chine.
Cette prise d’otage des peuples s’inscrit dans un scénario planifié en deux temps simultanés : tout d’abord l’intrusion de la fraude dans l’élection américaine enpour virer Trump dont le premier mandat a favorisé une croissance de 2,5%, inédite depuis longtemps aux États-Unis. (?) Du coup la dette insoutenable de l’économie américaine s’est littéralement envolée. Donald Trump a certes bénéficié d’un héritage très positif, mais il est parvenu à faire en sorte que l’expansion se poursuive. Avec un chômage de 3,5%, au plus bas depuis 50 ans jusqu’à la crise du Covid, la réélection de Donald Trump semblait assurée. (?) C’était sans compter sur la volonté des mondialistes (?) Aujourd’hui, il apparaît que ces élections ont été entachées de fraudes massives ... (?) Ensuite, la deuxième mise au pas des peuples, la plus effrayante et la plus cauchemardesque par son ampleur et sa solution finale, passe par la création d’une peur collective planifiée et entretenue par la scénarisation de la contagion d’un virus à l’échelle planétaire : le Covid 19. Ce virus a la létalité de 0,05% dont on doit rappeler qu’il n’est ni plus ni moins mortel que celui de la grippe saisonnière. Ce que l’on appelle dorénavant ''la grande pandémie du Covid 19 '' est un scénario monté de toutes pièces par Klaus Schwab, relaté en détail dans son livre pour tétaniser les peuples par la peur à fin de son grand reset. Le scénario a fait l’objet d’une répétition générale en 2019 au Forum de Davos que l’on peut trouver en ligne sur la chaîne Youtube du FEM sous le titre :« We ran a massive viral pandemic simulation. Here’s what we learned about managing Coronavirus« . (« Nous avons testé une simulation de pandémie virale. Voici ce que le management du Covid nous a appris. Une manipulation de grande envergure.
Tout avait déjà été prédit par Jacques Attali dès 2009 dans un article messianique publié par L’Express intitulé ''Avancer par peur''. ''L’humanité ne peut évoluer significativement que lorsqu’elle a vraiment peur et seule une pandémie majeure fera surgir la prise de conscience d’un altruisme (!) Pour jeter les bases d’un véritable gouvernement mondial'' .
Publié en juillet 2020, le livre de Klaus Schwab n’est rien d’autre qu’un programme économique et politique totalitaire qui se propose de dessiner le monde post-pandémique''. Le plus étonnant est qu'il admet que le Covid-19 est l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2000 dernières années, ajoutant que « les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes''.... ni menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies'' . Et pourtant ! Incroyablement, cette maladie ''bénigne'' est présentée comme l’occasion unique d’un changement sociétal sans précédent, sous la bannière de ''La Grande Réinitialisation''.
Schwab place ainsi le Covid-19 dans une longue tradition d’événements allant de la peste noire du Moyen-Age au 11 septembre 2001 en passant par la Seconde Guerre mondiale qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés. Il invoque ainsi « La Seconde Guerre mondiale qui a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l’ordre et l’économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux des politiques et des dispositions du contrat social, ajoutant '' il existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre, mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables. C’est notre moment décisif dont Un nouveau monde émergera.
« Le bouleversement sociétal déclenché par le COVID-19 durera des années, voire des générations.
Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est : jamais. Le ton est donné : « Des changements radicaux d’une telle ampleur sont tels que certains experts ont évoqué une ère « avant le coronavirus » et '' après le coronavirus''. Tous ces commentaires montrent une seule et même chose : Schwab se veut le grand architecte de cette pandémie planifiée par lui et ses acolytes pour mettre en place le grand reset. omment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société dystopique au reste d’entre nous ? La solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable débitée en copié-collé par les grands médias occidentaux, mais aussi les GAFAM, verrouillés par une oligarchie financière aux mains d’une poignée de multimilliardaires pour instiller la peur du virus durablement. Schwab est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste et transhumaniste de la surveillance, du contrôle et du profit exponentiel.
Il proclame : « Le fait qu’il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables, signifie que nous sommes susceptibles de voir l’avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique« .
Une section entière de ce livre est consacrée au thème « Modifier l’être humain« , ravalant les dystopies « 1984 » et « Le meilleur des mondes » à celui des Bisounours. Ici, Schwab bave sur « la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous » et évoque un futur cyborg impliquant « des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes« .
Il écrit : « Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle- même'' .
Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de « micro puces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps« , de « tatouages intelligents« , de « calcul biologique » et « d’organismes sur mesure capables de lire dans nos souvenirs » (!) Il est ravi d’annoncer que « les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes« , que « les dispositifs implantés aideront aussi à communiquer des pensées exprimées verbalement via une puce numérique intégrée, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales« . La « biologie synthétique » est à l’horizon dans ce monde donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial « la possibilité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN'' .
C’est ce sur quoi certains labos s’ingénient à travailler dès à présent avec les « vaccins » ARN. L’idée même des neuro technologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement artificiels implantés dans le cerveau suffit à nous donner la nausée, tout comme « la perspective de connecter notre cerveau à la réalité virtuelle via des modems corticaux, des implants ou des nano robots''.
Le Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab d’asservissement des peuples, car l’urgence immédiate qu’il présente permet de précipiter l’ensemble du processus sans examen minutieux et sans aucune considération éthique.
Ainsi : « Notre peur persistante et durable d’être infectés par un virus COVID-19 ou un autre accélérera la marche implacable de l’automatisation. De nouvelles réglementations resteront en place'' . Et ajoute : « L’impératif actuel est de propulser, quoi qu’il arrive, « l’économie sans contact » et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifie que l’on est sans tabou« . (!)
« Bon nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d’adopter pendant la détention (!) deviendront plus naturels grâce à la familiarité.
Au fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persisteront, l’appui sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des habitudes autrefois ancrées. Le mouvement de l’entreprise ira vers une plus grande surveillance : pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale« .
Des mesures coercitives d’un type ou d’un autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à prendre les « vaccins Covid » en cours de préparation, car derrière les « vaccins » se cache le traçage et la surveillance de masse de toute la population. On ne s’étonne donc pas qu’il insiste sur le fait « qu’un retour complet à la normale ne peut être envisagé avant qu’un « vaccin » ne soit disponible« .
Et ajoute : le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaxxers'' qui rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets Jaunes et de tous les engagés dans des « conflits de classe« , « résistance sociale » et « réaction politique« .
Mais comment Schwab envisage-t-il de faire face au « sombre scénario » des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ?Quel degré de force et de mesures coercitives serait-il prêt à accepter pour assurer l’aube de sa nouvelle ère technocratique ? La question est effrayante, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né. La nouvelle normalité nazie d’Hitler était censée durer mille ans, elle s’est effondrée 988 ans avant son objectif.
Mais , Ce n’est pas parce qu’Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu’il en a été ainsi. e n’est pas parce que Klaus Schwab et ses amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu’il en est ainsi. ous n’avons pas à accepter leurs propos alarmistes et leur conditionnement pour accepter leur dictature sanitaire et leur nouvelle norme.Nous n’avons pas à prendre leurs vaccins qui ne sont rien d’autre qu’une thérapie génique.Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des puces numériques ou à modifier notre ADN.Nous n’avons pas à rester confinés ou marcher muselés et soumis, pour bientôt être piqués tels des poulets dans l’attente de l’abattoir de leur enfer transhumaniste.Nous devons dénoncer leurs mensonges !Exposer leur agenda mortifère !Refuser leur grand reset qui n’est rien d’autre qu’un populicide !Rejeter leur idéologie toxique !Résister à leur fascisme !
Merci Hélène pour cette contribution.
RépondreSupprimerIl est vrai que plus l’alerte est grave et plus on se heurte à l’incrédulité, autour de nous. Il faut rappeler que la même incrédulité était opposée aux quelques-un.e.s qui tentaient d’alerter les alliés et diverses autorités sur l’extermination industrielle d’êtres humains en cours, avant la révélation due à la libération des camps par l’Armée rouge puis par l’armée américaine. Et les survivant.e.s diront que dans l’après-guerre la question fut vite refermée, comme un cauchemar qu’on était pressé d’oublier.
Quant au caractère fasciste des projets totalitaires actuellement en marche (en marche depuis les années 90 -- enfin...selon moi) on dirait plutôt qu’il s’agit d’un néo nazisme : est-ce que ce ne sont pas précisément les nazis qui décident qui doit vivre et qui doit mourir ? Nous sommes face à une néo nazification de la société. Les nazis d’aujourd'hui ne sont plus des militaires en vert de gris et ils ne parlent pas allemand -- ce qui contribue à tromper les gens, pour qui la figure du nazi est gravée, immuable.
-- "Ah là là, comme tu exagères et tu vois tout en noir", voilà ce qu’on me dit en jetant les yeux au ciel et en prenant discrètement ses distances.
-- "bah, pas étonnant, après ce qu'elle a vécu", ajoutent celleux qui ont eu écho de mon histoire personnelle.
Fermez le ban !
Et je revois mentalement les portraits de pape hurleur -notamment "l’étude" de 1953- peints par Francis Bacon d’après le "Innocent X" de Diego Velasquez (~1650).
Merci
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